ANALYSE DES COMPARAISONS DANS LE ROMAN « LA GRAMMAIRE EST UNE CHANSON DOUCE »

Cette recherche a pour but de savoir les types de comparaisons et les outils de la figure de style de comparaison dans le roman « La Grammaire Est Une Chanson Douce » par Erik Orsenna. La théorie utilisée dans cette recherche est la théorie de Lundquist (1983) et Ortony dans Reboul (1991 : 81) Cette recherche a eu lieu à la Bibliothèque de la Faculté de Lettres et d’Arts de l’UNIMED. La méthode utilisée est descriptive qualitative. La source de donnée est utilisée le roman « La Grammaire Est Une Chanson Douce » par Erik Orsenna. La méthode explique une condition de vérité, et donner la priorité à la donnée que la théorie. Le résultat de cette recherche montre qu’il y a 33 figures de style de comparaison, qui se compose de 2 types la comparaison littérale et 31 de types la comparaison non littérale. Le roman utilise la comparaison non littérale, pour créer la phrase dans le roman plus intéressante. En plus on peut regarder qu’il y a beaucoup de vocabulaires et les nouvelles expressions. Cette recherche montre aussi qu’il y a trois outils de comparaison utilisé dans le roman. Ces sont: « comme, semblable à, tel ». On a trouvé que l’outil de comparaison « comme » est utilisé 30 fois, l’outil de comparaison « tel » est utilisé 2 fois et quant à l’outil de comparaison « semblable à » n’a que été trouvé une seule fois. L’outil de comparaison « comme » est plus nombreux. Cela est prouvé par l’existence de cet outil de comparaison dans les exemples donnés dans la théorie de Lundquist (1983) et de Ortony dans Reboul (1991).